Le Ministre des Forêts et de la Faune, qui a engrangé plus de 900 Milliards de Francs CFA du Fonds-Climat avant de libérer la présidence de la Commission des Forêts d’Afrique Centrale, vient de raser toutes les poches de corruption dans les postes forestiers soupçonnés de pratiques mafieuses. Ce Ministre, qui a fait battre le record des recettes forestières faisant du MINFOF le deuxième Contributeur au budget de l’État, avec le vaste mouvement de son personnel qu’il vient d’effectuer, place l’administration des forêts comme locomotive de l’Emergence du Cameroun conduite Président Paul BIYA.
Avec le Ministre Jules Doret NDONGO à sa tête, le Secteur Forêt au Cameroun, plus qu’hier, mérite bien son appellation de « l’Or Vert ». En exécution aux Très Hautes Directives du Chef de l’État Son Excellence Paul BIYA, et sous la Coordination du Premier Ministre Chef du Gouvernement Chief Doctor Joseph DION NGUTE, le Ministre des Forêts et de la Faune Jules Doret NDONGO a hissé ce Secteur au top des attentes de la République. Premier défi, l’assainissement : assainissement de la Gouvernance Forestière, assainissement des Recettes Forestières aussi. Ce challenge-là, Jules Doret NDONGO l’a relevé avec brio. Hier une nébuleuse de trafics de toutes sortes, le Secteur Forêt et Faune est devenu aujourd’hui l’un des secteurs porteurs de croissance. Les experts en lecture des mouvements budgétaires, affirment avec forces détails, que les Recettes Forestières sont le plus grand contributeur au Budget de l’État après les recettes pétrolières.
La Gouvernance Forestière assainie de Jules Doret NDONGO a transfiguré l’image négative projetée hier des agents et cadres des Eaux et Forêts. D’ailleurs, les Grades qu’ils arborent aujourd’hui, « Lieutenant-Colonel, Colonel », fait appel à une rigueur sans précédent.
Le Gouvernement a pris une période de transition dans l’application de la Loi jugulant l’exportation des grumes. Cette période-là fait des résultats formidables, que ce soit au niveau des recettes dans les ports de Douala et de Kribi, mais aussi dans l’implantation des Unités Industrielles de Transformation du bois au Cameroun, avec pour conséquence la création de milliers d’emplois.
Du coup, la lutte contre la contrebande et l’exploitation illicite de nos forêts sont devenues de notoriété. Homme à poigne, moulé dans le sein des seins de la politique de « Rigueur et de Moralisation », le Ministre Jules Doret NDONGO a imposé la Transparence dans la gestion des Forêts au Cameroun.
Le bon cap fixé au Cameroun pour l’atteinte de l’Emergence, a motivé le Chef de l’État Son Excellence Paul BIYA à positionner le Ministre Jules Doret NDONGO au prestigieux Poste de Président de la Commission des Forêts d’Afrique Centrale, la Comifac. Ici, jamais un Ministre des Forêts n’a autant honoré le Cameroun à l’international. Et c’est le deuxième grand défi relevé par Jules Doret NDONGO. Lors des Sommets de la COOP, il a fait valoir la haute vision du Président Paul BIYA dans la conservation et la mise en valeur du bassin forestier d’Afrique Centrale, le deuxième plus grand bassin au monde. Le Ministre Camerounais des Forêts et de la Faune a fait flotter très haut le drapeau Camerounais. Jules Doret NDONGO insigne fierté nationale, a réussi l’exploit de ramener une provision de 900 milliards de francs CFA du Fonds Climat pour toutes les opérations de conservation et de développement des riverains.
Tolérance zéro aux corrompus
Le Secteur Forêt et Faune se porte très bien au Cameroun. Seulement, lorsque nous atteignons l’apogée, de malins génies de façon insidieuse et diabolique, tissent leurs réseaux pour faire échec à ce TGV de la Gouvernance Forestière pris pour atteindre l’émergence décidée comme « Cause Nationale » par le Chef de l’État. La Forêt et la Faune recommencent à devenir opaques. Les bêtes féroces ne s’appellent pas lions, chimpanzés, buffles, gorilles et serpents vénéneux ; les bêtes féroces s’appellent corrupteurs et corrompus. Ce sont des trafiquants malins qui ont infiltré le réseau des postes de contrôles forestiers et de chasse sur toute l’étendue du territoire. Une armée noire de trafiquants s’installait déjà, quand, l’artificier du Président Paul BIYA a découvert la bande de comploteurs. Un tir groupé par nominations interposées a détruit le vaste réseau de corruption. Jules Doret NDONGO a percé l’abcès purulent de corruption. Il a, de par son pouvoir discrétionnaire, détruit les bases de cette armée noire de corrompus et de corrupteurs. Les nominations de Jules Doret NDONGO ont fait mal ! Très mal ! On a tranché le nœud gordien à ce vaste réseau.
Du coup, les réactions ne se sont pas faites attendre pour le camp qui a subi de lourdes pertes en complices dans le Vaste mouvement de Personnels de terrain des postes forestiers et de chasse. Comme si un Ministre ne jouissait plus de son pouvoir discrétionnaire, les réseaux jouent à la victimisation. Comme de beaux démons qui s’ébattent dans de l’eau bénite, les ténors de l’axe du mal tentent par manière de crucifier plutôt le Saint. Seulement, quelques jours après ce vaste mouvement, les recettes forestières reprennent la progression asymptotique verticale. Traduction, Jules Doret Ndongo a vu juste. Le Ministre des Forêts et de la Faune a frappé au bon moment là où il fallait. Une frappe chirurgicale qui démontre à suffisance, qu’il reste et demeure l’Homme du Président Paul BIYA, c’est-à-dire, l’Homme marbré et moulé dans la Rigueur et la Moralisation, l’Homme qui sait que le Secteur Forêt et Faune est névralgique et stratégique pour l’Émergence du Cameroun.
Siméon AVA
