L’Institut de formation professionnelle AGM-INSTITUTE a organisé vendredi dernier, les soutenances publiques de fin de formation pour sa toute première cuvée d’apprenants.28 candidats ont défendu leurs travaux devant un jury d’experts dans plusieurs filières, notamment le secrétariat bureautique, le secrétariat de direction, la gestion et les nouvelles techniques d’agri business.
Les résultats ont été impressionnants, avec des notes allant de 15 à 18,5/20. Cette performance est une preuve de l’engagement constant du promoteur de l’institut à former des professionnels compétents.
Lors de la cérémonie, le promoteur de l’institut a encouragé les lauréats à être les ambassadeurs de l’institut partout où ils iront. Il a également rappelé que l’objectif de l’institut est non seulement de former des jeunes, mais également de les accompagner dans l’accès et la création d’un emploi décent.
La représentante personnelle du ministre de l’emploi et de la formation professionnelle, présidente du jury, a souligné l’importance de l’assiduité et de la qualité dans la formation pour obtenir de bons résultats. Elle a également recommandé aux candidats d’être proactifs et de savoir oser pour se faire une place dans le monde de l’emploi compétitif.
Les candidats ont présenté des sujets variés, notamment la gestion d’un secrétariat, la tenue d’un secrétariat de direction, la gestion des ressources humaines, la gestion de la communication dans une entreprise, ainsi que les techniques de l’agriculture de seconde génération.
MAKOUGOUM Ghislaine, étudiante en filière secrétariat de direction, a obtenu 16,5/20 n’a pas manqué d’exprimer sa gratitude envers l’institut. « Je peux enfin souffler, je me sens plutôt heureuse d’avoir pu achever ma formation en beauté, à AGM-INSTITUTE. La formation est vraiment de qualité et il y a un bon suivi. »
AGM-INSTITUTE compte 12 spécialités qui ouvrent des champs nouveaux dans la formation professionnelle des jeunes Camerounais. Cette première cuvée d’apprenants ouvre un ciel nouveau dans leur carrière et leur vie.
Hubert Ntolo
