C’est sur invitation du Président du Conseil National de la Communication (CNC) Joseph Tchebongkeng K., q’une dixaine de responsables des associations professionnelles des journalistes a été conviée à une séance de travail ce jeudi 4 novembre 2022 au siège du conseil national de la communication.
Cette rencontre avec les responsables du REPAC, de l’UPF, de l’AJSC, du Club des journalistes politiques du Cameroun, de l’association des cameramen, des journalistes de langue anglaise, pour ne que citer, entre en droite ligne avec la recherche des solutions appropriées pour une meilleure organisation structurelle et fonctionnelle de la presse camerounaise, afin de faciliter et de permettre aux professionnels de la communication de mieux affronter les défis liés à l’exercice de leur métier.
À titre de rappel, la presse Camerounaise fait face à plusieurs maux dont l’absence d’une structure et d’un circuit de distribution, de l’absence d’un cadre réglementaire d’accès équitable à la publicité et par ailleurs, l’insuffisance de l’appui de l’État aux médias. Face à cela, la presse écrite en ressort noircit et incapable d’accomplir ses missions d’où la nécessité des échanges de ce 4 novembre à Yaoundé.
Autour de la table, les acteurs ont convenu de la création d’une plateforme d’échanges et de discussion, regroupant les responsables des organisations professionnelles de journalistes, afin de mettre sur pied un cadre de concertation avec le Conseil National de la Communication et les administrations Sectorielles.
Pour Rodrigue TONGUE du Club des journalistes Politique, « Nous avons entamé les concertations, mais face aux risques encourus par les journalistes politique nous attendons mieux que des mots du Président.
