A la fin d’un parcours parsemé de riches exposés , le séminaire des journalistes en ligne et blogueurs a été clôturé par une remise de certificats afin de pouvoir transmettre une information de qualité aux différents internautes.
Une vingtaine de journalistes et blogueurs ont participé à un séminaire de formation sur les droits de l’homme,le fact checking, les droits de l’homme et Objectifs de Développement Durable,les terminologie sur les droits de l’homme,les différents niveaux de responsabilité en matières de droits de l’homme,la protection des sources et bien d’autres thèmes du 27-29 février 2024 dans la ville d’Ebolowa.
L’objectif de cet atelier a été une occasion pour ces journalistes et blogueurs de s’outiller sur les questions de droits de l’homme car les médias occupent un place très capitale dans la promotion et la protection des droits de l’homme.
Le choix d’Ebolowa n’a pas été fortuit, cette ville a de nombreux défis en matières de droits de l’homme,de nombreux journalistes résidants à Ebolowa ont bénéficié de cette formation qui ont été outillés ,ils devront intensifier les sensibilisations à travers leurs reportages et analyses des cas de violations des droits de l’homme telles que les Violences sexuelles qui sont parfois récurrentes dans cette zone .
Monsieur Kiven Timothy FONYUY point focal du Centre des Nations Unies pour les droits de l’homme et la Démocratie en Afrique Centrale CNUDHD-AC l’a souligné <<Cet atelier a été un moment de partage d’expérience.L’un des objectifs à été de communiquer la bonne et la vraie information aux journalistes en ligne et blogueurs afin de faciliter le relais sur leurs différentes plateformes .Le CNUDHD-AC, a engagé une vaste communication sur les droits de l’homme déclinée par une campagne digitale.Les journalistes en ligne et blogueurs vont nous permettre d’atteindre cet objectif >>
Les journalistes ont donc été édifiés sur l’introduction sur les droits de l’homme et les terminologies appropriées,il faut le noter, pour produire un article sur les droits de l’homme il faudrait que le journaliste ou le blogueur maîtrise le langage et codes juridiques.
